033202 La démocratie est-elle le moins pire des régimes ? De Socrate aux zadistes

  • Dates des cours : 5nov-12nov-19nov-26nov-3déc-10déc
  • Heure de début du cours : 9:00
  • Heure de fin du cours : 11:00
  • Jour du cours : Mercredi
  • Intervenant : Jean-Frederic DESAIX


Jean-Frédéric DESAIX

Churchill avait-il raison en définissant la démocratie comme le moins pire des régimes ?
Concertation, démocratie participative, empowerment… de nouvelles aspirations aux pratiques démocratiques pointent ici et là en Europe. La démocratie représentative est-elle à bout de souffle ? Est-ce possible de s’en passer ? Quelles ont été les tentatives en faveur d’une démocratie directe ?

  • Origine des débats sur la conception de la démocratie
  • Rousseau versus Locke
  • Les tentatives de démocratie directe au cours des siècles
  • La crise du système représentatif
  • Crise de la démocratie ou crise des démocraties ?
  • Les nouveaux espaces démocratiques
  • Imaginaire ou réalité ?

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033204 Régime politique américain : un idéal démocratique ?

  • Dates des cours : 12déc-19déc-9janv-16janv-23janv-30janv
  • Heure de début du cours : 13:00
  • Heure de fin du cours : 15:00
  • Jour du cours : Vendredi
  • Intervenant : Nicolas BRUNET


Nicolas BRUNET

Les récentes actualités amènent à s’interroger sur le rôle et le pouvoir de l’élément phare du régime politique américain, à savoir le président.

Ce cours abordera les fondamentaux des régimes démocratiques, comme la séparation des pouvoirs et son application aux États-Unis et ses différences avec le système européen.

A travers les précédents historiques, ce cours abordera le rôle des institutions politiques américaines, en allant de l’élection présidentielle américaine (en abordant les notions entendues dans les médias de « Super Tuesday », de grands électeurs …), en passant par la procédure de destitution propre au régime présidentiel et permettra d’aborder les pouvoirs réels du président et de l’administration dans cet état fédéral.

Pour compléter ce panorama, la constitution américaine, ses amendements, le rôle de la Cour Suprême et son influence récente seront abordées.

Nicolas Brunet est titulaire de deux Master 2 en droit, il intervient à la faculté de droit et de sciences politiques depuis 4 ans en droit constitutionnel.

 

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033205 Les ultra-riches et le pouvoir dans l’Amérique de Trump

  • Dates des cours : 3févr-10févr-3mars-10mars-17mars-24mars-31mars-7avr
  • Heure de début du cours : 14:15
  • Heure de fin du cours : 15:45
  • Jour du cours : Mardi
  • Intervenant : Marion PINEAU


Marion PINEAU

Depuis l’investiture de Donald Trump pour sa seconde mandature à la présidence des Etats-Unis, tout s’est brutalement accéléré sur le plan politique, économique et géopolitique. La Maison Blanche est devenue l’épicentre d’un séisme venant secouer la planète. Tranchant avec le style politique de ses prédécesseurs, Donald Trump s’est rapidement entouré de visages jusque-là peu habitués à tirer les ficelles du pouvoir depuis l’intérieur. Composé essentiellement d’amis milliardaires et multimillionnaires, le gouvernement américain est, plus que jamais, soutenu par les ultras puissants du milieu de la tech. C’est désormais hors du cadre classiquement opérant qu’agissent aujourd’hui les ultra-riches et géants de l’économie américaine bien décidés à en découdre avec la démocratie.

Dans ce cours, il sera aussi bien question de « ploutocratie » que de « broligarchie ». La ploutocratie à l’œuvre outre Atlantique témoigne des influences de milliardaires allant jusqu’à surpasser celle des Etats. Le critère d’accès au pouvoir est désormais l’argent ! Le cas américain retiendra notre attention pour appréhender les enjeux politiques et stratégiques à venir à l’échelle de la planète. De son côté, la Silicon Valley est devenue le terreau fertile d’une « broligarchie technologique » qui, après avoir prêté allégeance à Donald Trump, se soucie principalement de préserver ses intérêts stratégiques et financiers. Les valeurs portées par cette classe dirigeante de la tech, sont celles du masculinisme ou encore celles d’un eugénisme dépoussiéré, directement hérité de l’idéologie nazie. Porte-parole débridé, Elon Musk en incarne le principal visage public et politique. Mais nombreux sont celles et ceux qui ont rejoint ce mouvement. Préférant d’abord cultiver la discrétion, cette classe dirigeante n’hésite désormais plus à politiser les idées héritières d’un passé meurtri par les ravages du fascisme et du nazisme. L’occasion des saisir les événements actuels et à venir, à l’aune des dernières décennies.

Pour mieux appréhender ce qui se joue chez les hauts dirigeants et milliardaires, ce cours offrira plusieurs clefs de compréhension : Pourquoi l’eugénisme a-t-il le vent en poupe chez les hauts dirigeants de la Silicon Valley ? Comment expliquer le retour d’un mouvement politique se faisant directement l’héritier des idéologies nazies et fascistes ? Comment et sous quelles façons l’eugénisme est-il devenu, chez une partie des ultra-riches, le plan de sauvetage de la planète face aux risques de guerre et de dérèglements climatiques ? Autant de questions qui seront abordées dans ce cours pour mieux saisir les tumultes rencontrés par l’appareil d’Etat Américain et qui, par effet de ricochets, pèsent sur nos démocraties européennes. Autrement-dit, les perspectives à venir seront lues à l’aune de l’histoire collective et passée.

Dans ce cours, les sciences sociales seront mises au service d’esprits en alerte pour mieux saisir les transformations à l’œuvre et à venir. Science politique, sociologie, sciences économiques et sociales, géopolitique et droit seront nos principales boussoles pour décrypter les mutations contemporaines. C’est en zoomant sur les frontières de plus en plus poreuses entre pouvoirs politique et financier que ce cours offrira les clefs de compréhensions des mécanismes à l’œuvre, qu’il s’agisse des démocraties américaines ou européennes. De quelles magnitudes vont être les séismes orchestrés par une « ploutocratie », doublée d’une « broligarchie » américaine ? Devant de tels virages politiques et économiques, quels sont les scénarios Européens envisageables ?

Marion Pineau est docteure en science politique (Université de Droit et des Sciences Politiques de Nantes – DCS), enseignante à l’École Centrale de Nantes (ENSM), politiste et sociologue consultante.

 

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033208 L’institution parlementaire : une clef de compréhension de la vie politique française

  • Dates des cours : 9févr-2mars-9mars-16mars-23mars-30mars
  • Heure de début du cours : 13:30
  • Heure de fin du cours : 15:30
  • Jour du cours : Lundi
  • Intervenant : Samuel SANCHEZ


ATTENTION changement de dates : 9 février remplace le 27 avril (info du 26nov 2025)

Samuel SANCHEZ

L’intérêt de ce cours est de donner les outils d’une meilleure compréhension de notre régime actuel, la Ve République. Depuis la révision constitutionnelle de 2008 et surtout depuis la dissolution de 2024, l’institution parlementaire retrouve une place considérable dans le jeu institutionnel et la prise de décision politique. Cet enseignement peut contribuer à saisir les enjeux et les mécanismes (49-3, commission d’enquête parlementaire, commission mixte paritaire…) derrière les positions partisanes et le flux incessant de l’actualité.

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033210 L’Union européenne : quelles institutions pour quelle action ?

  • Dates des cours : 2oct-9oct-16oct-6nov-13nov-20nov
  • Heure de début du cours : 13:30
  • Heure de fin du cours : 15:30
  • Jour du cours : Jeudi
  • Intervenant : Samuel SANCHEZ


Samuel SANCHEZ

L’Union européenne est présente dans le quotidien des habitants au sein des États membres. Cependant, demeure encore une sorte de mystère autour des institutions et de leurs compétences respectives. Quelle différence entre Conseil de l’UE et le Conseil européen ? Qui fait véritablement la « loi » pour l’UE ? La Commission européenne détient-elle un large pouvoir ?
Ce cours vise à éclaircir l’organisation institutionnelle de l’UE pour mieux présenter les champs d’action et les limites propres à l’existence de cette union d’États.

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033212 Monnaie et déficit public en Europe

  • Dates des cours : 6janv-13janv-20janv-27janv-3févr-10févr-3mars-10mars-17mars-24mars-31mars-7avr
  • Heure de début du cours : 13:45
  • Heure de fin du cours : 15:45
  • Jour du cours : Mardi
  • Intervenant : Mehmet TUNCEL


Mehmet TUNCEL

Quel peut être le lien entre les taux d’intérêt fixés par la Banque centrale européenne (BCE) et les prix des produits alimentaires dans les rayons des grandes surfaces ? Pourquoi la dette publique serait-elle acceptable jusqu’à 60% du PIB et insupportable au-delà ? Qu’est-ce que la dette publique, et représente-t-elle réellement un fardeau pour les générations à venir ?

Pour ceux qui suivent l’actualité à travers les médias et les déclarations des responsables politiques, ce sont des questions profanes à ne pas poser car les réponses seraient évidentes : la stabilité des prix est le seul objectif des politiques économiques, la BCE doit relever les taux d’intérêt si les prix augmentent, les gouvernements doivent éviter des déficits et des dettes excessifs.

Ce cours propose d’aller aux origines de la conception des mécanismes économiques qui ont conditionné la définition des politiques budgétaires et monétaires dans les Traités européens pour s’interroger sur des issues hétérodoxes possibles. Il est destiné à un public qui se sent concerné par ces questions sans se sentir suffisamment informé sur les bien-fondés des critères quantitatifs qui se sont imposés depuis les années 1990 : pas plus de 2% d’inflation, pas plus de 3% du PIB de déficit public…

Dans un premier temps le cours prendra la forme d’une introduction générale à l’économie : la formation du PIB, son partage entre les facteurs de productions, les rôles des différentes catégories d’agents dans le circuit économique… Après un examen du rôle des banques dans la création de monnaies et du financement de l’économie, de l’intermédiation financière et la place qu’occupe une banque centrale dans le système monétaire, on s’intéressera à l’évolution du cadre théorique des politiques monétaires et budgétaires dans les années quatre-vingt. Ces années Thatcher – Reagan ont marqué la définition des critères de convergence pour la monnaie unique qui sont connus comme les « critères de Maastricht », repris dans la Partie VIII du Traité sur l’Union européenne (1992) et entérinés par le Pacte de stabilité et de croissance (1997).

On constatera que la BCE n’a pu appliquer une telle politique monétaire qu’entre 1999 et 2001, pendant les deux années qui sont suivi sa création. Les conséquences sur l’Europe de l’éclatement de la bulle spéculative des nouvelles technologies ont nécessité une redéfinition des indicateurs suivis pour la politique monétaire entre 2001 et 2007. La crise des subprimes de 2008 a conduit la BCE à appliquer des politiques « non conventionnelles » et à détourner le Traité européen qui interdit tout financement direct des gouvernements et des administrations pour financer les dépenses publiques accrues. Ces pratiques ont été présentées par un langage codifié (politiques monétaires non-conventionnelles, opérations monétaires sur titres, assouplissement quantitatif etc…) qui sera démystifié.

Le cours ne nécessite aucune formation préalable en économie, puisqu’il commencera comme une introduction à l’économie, mais un intérêt à l’actualité européenne et économique.

Programme à titre indicatif, susceptible d’évoluer en cours d’année :

  • Mécanismes de l’économie (formation et partage de la valeur, activité économique et emploi)
  • Monnaie, banques, banques centrales, marchés financiers
  • Politiques économiques des Trente Glorieuses
  • Années quatre – vingt : changement de paradigme
  • Émergence des critères de convergence, lancement de l’euro
  • La BCE : orthodoxie (1999 – 2001)
  • La BCE : tâtonnement (2001 – 2007)
  • La BCE : gestion de la crise des subprimes (2007 – 2012) et de la crise sanitaire (2020 – 2022)
  • La BCE : retour à l’orthodoxie ? (depuis été 2022)
  • Que faire de la dette publique ?

 

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033215 Comprendre l’action des pouvoirs publics et ses limites face aux défis économiques contemporains

  • Dates des cours : 22janv-29janv-5févr-12févr-5mars-12mars
  • Heure de début du cours : 13:45
  • Heure de fin du cours : 15:45
  • Jour du cours : Jeudi
  • Intervenant : Léonard DELMAIRE


Léonard DELMAIRE

Ce cours s’adresse à des débutants souhaitant découvrir les fondements et les limites de l’action des pouvoirs publics face aux multiples défis économiques du XXIe siècle.

  • La régulation de l’économie par les pouvoirs publics et les bases de la macro-économie : les fondements de l’intervention des pouvoirs publics, l’évolution du rôle économique et social de l’Etat (de l’Etat « Gendarme » à l’Etat « Providence »), les fonctions économiques de l’Etat (allocation des ressources, redistribution et stabilisation de l’activité économique), les différents types de politiques économiques (structurelle ou conjoncturelle, budgétaire ou monétaire, de relance ou de rigueur), les grands déséquilibres macro-économiques.
  • Les défis de la croissance économique : le progrès technique et le phénomène de destruction créatrice, le progrès technique comme facteur de polarisation des emplois et la hausse des inégalités de revenus, les limites écologiques de la croissance (pollution et épuisement des ressources naturelles), les débats sur la possibilité d’un développement durable (soutenabilité faible Vs soutenabilité forte) et sur le rôle du progrès technique comme solution aux limites écologiques, l’action des pouvoirs publics en faveur de l’environnement et ses limites (limites de la réglementation, de la taxation, des marchés de quotas d’émission, dysfonctionnements de l’action publique à l’échelle nationale et internationale).
  • Les mutations du travail et de l’emploi : les mutations de l’emploi (salarisation, tertiarisation, hausse des qualifications, féminisation), chômage de masse et précarité de l’emploi, la segmentation du marché du travail, l’évolution des organisations du travail (taylorisme, fordisme, toyotisme, organisation apprenante…) et leurs effets sur les conditions de travail, les effets du numérique et de l’IA sur le travail et l’emploi (en particulier l’ubérisation de l’économie et les effets sur les qualifications et les revenus des salariés).
  • Les politiques de lutte contre le chômage : la difficile et imparfaite mesure du chômage, le halo du chômage et le sous-emploi, les analyses théoriques des causes du chômage (problèmes d’appariement, asymétries d’information et salaire d’efficience, effets négatifs des institutions, faiblesse de la demande effective), les politiques de l’emploi (politiques de relance, d’allègement du coût du travail, de flexibilisation du marché du travail, de formation et d’accompagnement des chômeurs) et leurs limites.
  • La gestion des risques sociaux et l’action des pouvoirs publics en faveur de la justice sociale : la notion de risque, les différents types de risques sociaux, la gestion individuelle et collective des risques, le rôle des pouvoirs publics dans la gestion collective des risques sociaux et en faveur de la justice sociale (types de fiscalité, protection sociale et prestations sociales d’assurance ou d’assistance, services collectifs, lutte contre les discriminations), les limites de l’intervention des pouvoirs publics en matière de justice sociale (contrainte de financement, débats sur l’efficacité de la redistribution, le recul du consentement à l’impôt et les désincitations).
  • Les enjeux actuels de la mondialisation : la compétitivité des firmes et des pays, l’internationalisation de la production et les choix stratégiques effectués par les firmes transnationales, les effets contrastés du commerce international et de l’internationalisation de la production, une brève histoire de l’essor du libre-échange, les avantages et les inconvénients du libre-échange, les justifications et limites du protectionnisme.

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033218 Marché, croissance, finance, mondialisation… Une introduction aux fondements de l’économie

  • Dates des cours : 2oct-9oct-16oct-6nov-13nov-4déc
  • Heure de début du cours : 13:45
  • Heure de fin du cours : 15:45
  • Jour du cours : Jeudi
  • Intervenant : Léonard DELMAIRE


Léonard DELMAIRE

Ce cours s’adresse à des débutants souhaitant s’initier aux notions et aux mécanismes fondamentaux de l’économie.
Programme :

  • Les bases de la micro-économie : les multiples définitions du marché, l’essor de l’économie de marché, le modèle de concurrence pure et parfaite, le fonctionnement des marchés (comportements de l’offre et de la demande), les déterminants de l’offre (calculs des différents coûts, du chiffre d’affaires, de la valeur ajoutée, du bénéfice) et de la demande (choix de consommation en fonction de l’évolution des prix et des revenus), les chocs économiques (d’offre et de demande, positifs/négatifs).
  • Les atteintes à la concurrence et les défaillances des marchés : les marchés imparfaitement concurrentiels (monopoles/oligopoles, barrières à l’entrée, ententes, abus de position dominante…), la politique de la concurrence et ses limites, les principales défaillances des marchés (asymétries d’information, externalités et biens collectifs), l’intervention des pouvoirs publics pour pallier les défaillances de marché (réglementation, taxation, marché des droits à polluer, production de services collectifs).
  • Le processus de croissance économique : une brève histoire de la croissance économique (un phénomène récent, irrégulier et inégalement réparti dans le monde), la mesure de la croissance et les limites du PIB comme indicateur de richesses et de développement, les sources de la croissance (rôle des facteurs de production, du progrès technique, de l’intervention des pouvoirs publics).
  • Le financement de l’économie et la création monétaire : les fonctions et les formes de la monnaie, les différents types de financement des investissements des entreprises (autofinancement, financement par emprunt, financement sur les marchés financiers), le marché des capitaux (marchés monétaire et financier), le processus de création monétaire par les banques commerciales et le rôle des banques centrales.
  • Les crises financières : la formation et l’éclatement d’une bulle spéculative, les comportements mimétiques et les prophéties auto-réalisatrices, les paniques bancaires et faillites bancaires en chaîne, les canaux de transmission de la crise financière à l’économie réelle (contraction du crédit, effet de richesse négatif, ventes forcées et déflation par la dette), les conséquences d’une crise sur l’activité économique et l’épargne des ménages, comprendre la crise de 1929 et la Grande Dépression des années 1930, comprendre la crise des « subprimes » de 2008 et la récession des années 2010.
  • Comprendre la mondialisation : une brève histoire du commerce international, les différentes dimensions de la mondialisation (internationalisation du commerce, de la production, des flux financiers, des cultures et des institutions politiques), les principales théories économiques sur les avantages du commerce international et de la spécialisation (avantages absolus et comparatifs, dotations factorielles et technologiques, rôle de la demande représentative, différenciation des produits), les déterminants pratiques et politiques de l’essor du commerce international, l’évolution de la géographie des échanges internationaux et de la division internationale du travail.

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033220 Six fondamentaux économiques qui aident à mieux analyser et comprendre les mesures de politique économique

  • Dates des cours : 17oct-7nov-14nov-5déc-12déc-19déc
  • Heure de début du cours : 14:00
  • Heure de fin du cours : 16:00
  • Jour du cours : Vendredi
  • Intervenant : Joseph MICHEL


Joseph MICHEL

Présenter les grandes questions posées aux responsables économiques des pays avec les éclairages et réponses apportés par les auteurs anciens et actuels qui influencent les choix de politique économique contemporaine. On se limitera aux décisions qui s’appliquent actuellement dans les pays et qui marquent nos relations géo-économiques et géopolitiques. L’idée est d’apporter des explications afin de mieux évaluer l’actualité économique.
Nous aborderons les 6 thèmes suivants :

  • 1 – Le choix d’un système d’organisation de la société et des activités de production dans le monde d’aujourd’hui. Analyse des choix et des situations dans plusieurs pays.
  • 2 – La croissance économique au regard de l’innovation et de la destruction créatrice. Petit retour sur la 2ème moitié du XXe siècle et les prolongements du début du XXIe siècle.
  • 3 – Les étapes du développement économique des pays et ses liens avec leur culture, le capital humain, la religion, l’organisation de la société… Examens et analyses de cas à partir d’exemples contemporains. Les propositions et conclusions d’auteurs économiques.
  • 4 – La gestion monétaire et ses implications sur le monde réel avec focus sur l’Euro et le Dollar. Effets des politiques actuelles d’endettement.
  • 5 – Les politiques budgétaires et la redistribution des richesses. Analyse des résultats à partir d’exemples actuels de pays.
  • 6 – Quelques hypothèses et projections au regard des problèmes liés à la limite de la croissance économique et de ses effets environnementaux.

Chaque étudiant reçoit une copie des diapositives support du cours en avance pour préparer les questions et commentaires.

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033221 Introduction à l’Économie Sociale et Solidaire

  • Dates des cours : 29sept-13oct-17nov-1déc-15déc-12janv
  • Heure de début du cours : 14:00
  • Heure de fin du cours : 16:00
  • Jour du cours : Lundi
  • Intervenant : Noémie MOURET


Noémie MOURET

Découvrez l’Économie Sociale et Solidaire (ESS) à travers ce cours d’introduction qui vous plonge dans un modèle économique alliant solidarité et utilité sociale. Apprenez la définition légale de l’ESS établie par la loi de 2014 et explorez les chiffres clés qui montrent son impact significatif. Familiarisez-vous avec les acteurs essentiels, qu’ils soient personnes morales (coopératives, associations, fondations, mutuelles) ou physiques (bénévoles, adhérents, administrateurs, salariés). Explorez les divers secteurs de l’ESS, de la solidarité à la culture en passant par le médico-social et l’industrie. Comprenez les principes fondamentaux de non lucrativité, de gouvernance partagée et d’utilité sociale, et voyez comment ces concepts se traduisent en actions concrètes pour une société plus équitable et durable.

Aucun prérequis nécessaire

Noémie Mouret est co-directrice de coopérative et doctorante en économie sociale et solidaire

 

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