021526 Shoah et Nazisme : ce que l’histoire nous apprend encore

  • Dates des cours : 6oct-13oct-17nov-24nov-1déc-8déc-15déc-12janv-19janv-26janv-2févr-9févr
  • Heure de début du cours : 10:00
  • Heure de fin du cours : 12:00
  • Jour du cours : Lundi
  • Intervenant : Dominique COMELLI


Dominique COMELLI

Le cours permettra d’analyser l’installation et le fonctionnement du nazisme, à la lueur des recherches récentes, qui ont profondément renouvelé ce champ historique. Puis nous plongerons dans la politique génocidaire du régime,que ce soit la Shoah ou les massacres de Slaves, avant de terminer sur les enjeux des politiques de mémoire.

La question semble connue et labourée. Et pourtant, l’approche des historiens a profondément changé depuis 20 ans, à la suite des travaux allemands, en particulier, s’appuyant sur de nouvelles archives. Ces progrès ne sont pas encore massivement diffusés dans les médias. Ce sera l’occasion de faire le point sur ce qui fait consensus, et sur les actuels champs de recherche.

Les travaux actuels se penchent aussi sur ce en quoi le nazisme a contaminé encore maintenant nos sociétés, sans que l’on s’en rende forcément compte : les technocrates à l’œuvre dans les plans d’extermination ont pu continuer tranquillement leur carrière après-guerre.

Le cours présentera aussi les positions des historiens actuels sur la comparaison entre années 30 et les années actuelles. Quelles sont les différences, quelles sont les analogies ? Si l’histoire ne se répète jamais, elle bégaye parfois.

Il y aura donc plusieurs parties dans ce cours :

– l’histoire allemande. Si le nazisme et la Shoah n’ont rien à voir avec une « essentialité allemande », les chemins pour y arriver ont un rapport avec l’histoire allemande. Comment une société apparemment développée, cultivée, engagée, qui semblait pour beaucoup de révolutionnaires et de démocrates à la fin du XIXème siècle un des modèles de possibilité de changement sociaux profonds a-t-elle confié son destin à de médiocres démagogues ? Cette question est bien sûr une de celles que les recherches actuelles ont le plus travaillé, et aussi une des plus importantes pour comprendre notre actualité.

– les plans d’extermination, qui concernent bien sûr d’abord les Juifs, pour des raisons idéologiques fondamentales, qu’on analysera, mais qui s’inscrivent aussi dans des plans technocratiques d’extermination plus larges de remodelage des espaces européens : toute l’Europe orientale et la Russie sont devenues des « terres de sang ».

– les conséquences sur notre après-guerre : le « plus jamais ça » a débouché sur des droits internationaux, des définitions juridiques, des réflexions plus générales sur ce qui peut faire basculer des sociétés dans les crimes de masse : là aussi des consensus se sont établis : à partir du moment où on commence à penser entre « nous « et « eux », on ouvre le chemin à l’horreur, même si on ne le parcoure pas forcément. Tous ces acquis du droit international sont actuellement fragilisés, bien les connaitre permettra de mieux réaliser à quel point ils sont importants. Mais l’après-guerre a débouché aussi sur ce qu’on appelle les politiques de mémoire, qu’on examinera et interrogera également.

Dominique Comelli spécialiste de l’histoire romaine,  a consacré sa thèse au traitement de l’Antiquité dans la littérature jeunesse. Elle a enseigné l’Histoire au lycée expérimental de Saint-Nazaire et a écrit de nombreux articles sur l’enseignement et la littérature jeunesse. Elle est aussi l’auteur d’un essai : « Comment on enseigne l’histoire à nos enfants », publié chez Atalante en 2001. « Les esclaves de Rome », paru chez Milan Jeunesse est son premier roman.

 

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021595 Une histoire de l’art cinématographique de 1895 à nos jours, une histoire de politiques de regards, une histoire de luttes pour être visible

  • Dates des cours : 6oct-13oct-17nov-24nov-1déc-8déc-15déc-12janv-19janv-26janv-2févr-9févr
  • Heure de début du cours : 10:00
  • Heure de fin du cours : 12:00
  • Jour du cours : Lundi
  • Intervenant : Frédéric HENRY


Frédéric HENRY

Histoire de l’Art cinématographique de 1895 à nos jours, l’histoire d’une rencontre entre 3 univers, le spectateur, la salle de cinéma et le/la cinéaste.

En 11 cours de 2h et une rencontre avec une ou un cinéaste de 3h, je vous propose une histoire de l’art cinématographique de 1895 à nos jours, une histoire de politique(s) de regards où la lutte pour être visible raconte ce qui construit ou détruit le vivre ensemble, la démocratie.

En reliant les cours « histoire de l’art cinématographique » et « femmes au cinéma » en une seule histoire, c’est une nouvelle possibilité de découvrir l’histoire du cinéma autrement, en la racontant à l’aune des dernières révélations et en la présentant comme une lutte pour être visible, une révolution esthétique pour une révolution sociale.

N’est-ce pas un signe si sa découverte est intervenue en 1895 en pleine ascension de la République sociale ?
C’est l’histoire d’une relation singulière et particulière, entre un spectateur, un lieu et un film projeté à un temps donné, une histoire d’amour, de liberté et de progrès.
C’est l’histoire d’une rencontre extraordinaire dans un lieu mythique, la salle de cinéma, entre une œuvre projetée et agrandie, un prototype, une histoire de vies, et les spectateurs, autant d’histoires en cours, histoires qui seront peut-être transformées par cette rencontre. »

Prévoir 5€ pour la séance où le film sera diffusé

Rencontre avec la réalisatrice au cinéma Bonne Garde (à confirmer)

Frédéric Henry est titulaire d’un BTS audiovisuel option production et d’une licence cinéma. Il travaille depuis 30 ans dans l’industrie du cinéma, de la production à l’exploitation cinéma en passant par la distribution, avec une préférence pour le monde de la salle de cinéma et l’éducation au cinéma.

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021910 L’histoire de l’alimentation

  • Dates des cours : 6oct-13oct-17nov-24nov-1déc-8déc-15déc-12janv-19janv-26janv-2févr-9févr
  • Heure de début du cours : 14:00
  • Heure de fin du cours : 16:00
  • Jour du cours : Lundi
  • Intervenant : Dominique COMELLI


Dominique COMELLI

Histoire de l’alimentation ? Au premier abord, cela parait une question simple et réduite. Et pourtant, c’est un cours dont les étudiants qui l’ont suivi disent qu’ils ne pensaient pas que cela pouvait être si riche et passionnant. Car parler de l’alimentation, c’est parler d’énormément de choses. L’alimentation, c’est le besoin premier de l’être humain, et donc aussi celui auquel sont attachés le plus d’enjeux, pas seulement économiques et techniques.

Parler d’alimentation, c’est d’abord parler de nos besoins biologiques, et du fonctionnement de notre corps, sans entrer bien sûr plus loin : ce n’est pas un cours de biologie, ni de nutrition. Et donc forcément parler de nos ancêtres, qui nous ont légué un fonctionnement biologique de chasseurs-cueilleurs.

C’est parler de nos ressources alimentaires, et de la manière dont on les obtient, et donc de progrès agricoles, de modèles économiques, entre bio et agriculture productiviste, mais aussi de géopolitiques : la guerre et la puissance ont toujours été utilisées pour se procurer des ressources alimentaires, depuis la Préhistoire.

C’est parler de la mise en œuvre de ces ressources, et donc parler cuisine, organisation des repas, présentation des mets, et donc parler des plaisirs gustatifs.

C’est aussi présenter toute la symbolique culturelle, religieuse, autour de la nourriture.

Des enjeux donc communs à l’Humanité mais auxquels chaque société a répondu différemment.

Le cours commencera donc d’abord par une histoire de l’alimentation et de ses enjeux, (et de ses cuisines) que ce soit dans la Préhistoire, à Rome, dans le monde juif et arabe, puis au Moyen Age occidental, à la cour de Louis XIV…, avant d’aborder le monde moderne, ses découvertes et la mondialisation, les enjeux actuels et ceux du futur, pour terminer par quelques cuisines étrangères.

Dominique Comelli spécialiste de l’histoire romaine,  a consacré sa thèse au traitement de l’Antiquité dans la littérature jeunesse. Elle a enseigné l’Histoire au lycée expérimental de Saint-Nazaire et a écrit de nombreux articles sur l’enseignement et la littérature jeunesse. Elle est aussi l’auteur d’un essai : « Comment on enseigne l’histoire à nos enfants », publié chez Atalante en 2001. « Les esclaves de Rome », paru chez Milan Jeunesse est son premier roman.

 

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021950 Histoire et chansons françaises

  • Dates des cours : 13oct-17nov-15déc-12janv-9févr-9mars
  • Heure de début du cours : 14:00
  • Heure de fin du cours : 16:00
  • Jour du cours : Lundi
  • Intervenant : Jean GUIFFAN


Jean GUIFFAN

La chanson française de 1967 à 1972

Bien que de plus en plus concurrencée par les importations anglo-américaines et quelque peu « chamboulée » par les événements de 1968, la chanson française reste toujours bien présente avec ses valeurs sûres comme Brassens, Aznavour, Bécaud, Gainsbourg, Ferrat… auxquels s’ajoutent de nouveaux venus comme Michel Fugain, Julien Clerc, Serge Lama et Michel Sardou.

Après une courte présentation des principaux événements chaque année étudiée, les participants sont appelés à interpréter les chansons dont le texte leur sera envoyé peu avant, l’historien les accompagnant alors au piano.

 

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021960 Femmes au travail : s’affirmer par la lutte

  • Dates des cours : 29sept-6oct-13oct
  • Heure de début du cours : 10:00
  • Heure de fin du cours : 12:00
  • Jour du cours : Lundi
  • Intervenant : Christophe PATILLON


Christophe PATILLON

L’objectif de ces cours est de faire connaître la richesse de l’histoire sociale de la Loire-Atlantique et de l’Ouest en partant de luttes et d’événements marquants. Aucune connaissance en histoire sociale n’est requise !

Le mouvement ouvrier face au travail féminin. En septembre 1894, lors du 6e congrès national des syndicats de France, Charles Rossignol conclut par ses mots son rapport sur le travail salarié et les femmes  : « Nous concluons en demandant que dans notre société actuelle, à travail égal, la femme touche salaire égal, en attendant que la prochaine Révolution sociale la rende au foyer domestique d’où elle n’aurait jamais dû sortir. » Tout est dit en une phrase…De la fin du 19e siècle à nos jours, ce cours retrace plus d’un siècle de combats pour imposer la légitimité du travail féminin, contre vents et marées, y compris syndicaux.
Chantelle 1981 : la colère des petites mains. Chantelle est une société textile créée en 1876 par un ingénieur parisien, Auguste Gamichon. Il produit tout d’abord des bas à varices, ceintures et tricots, avant de diversifier sa production grâce à son neveu, Paul-Maurice Kretz, qui rejoint l’entreprise à la fin du 19e siècle. En 1949, la famille Kretz lance la marque « Chantelle » et se fait remarquer par une communication publicitaire audacieuse qui lui apporte de la notoriété. Le développement de la marque pousse la direction à créer deux nouvelles usines dont une, en 1966, à Saint-Herblain, dont le personnel se révèlera assez vite, fort indocile.
Les OS du clavier se rebiffent : la grève des dactylocodeuses de l’INSEE (1980-1981). L’INSEE les avait recrutées au début des années 1970 car elles offraient toutes les garanties : elles étaient femmes, jeunes, dociles et destinées à le rester grâce à un management autoritaire et paternaliste. En 1980, les « petites mains » se révoltent et font entendre pour la première fois leurs voix de travailleuses et de femmes.

N’hésitez pas à visiter la bibliothèque du Centre d’histoire du travail (RDC du bâtiment Ateliers et Chantiers de Nantes). L’emprunt d’ouvrages y est possible gratuitement.

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021961 Ouvriers, paysans et pêcheurs : les chemins de l’unité

  • Dates des cours : 24nov-1déc-8déc
  • Heure de début du cours : 10:00
  • Heure de fin du cours : 12:00
  • Jour du cours : Lundi
  • Intervenant : Christophe PATILLON


Christophe PATILLON

Faire connaître la richesse de l’histoire sociale de la Loire-Atlantique et de l’Ouest en partant de luttes et d’événements marquants. A noter : les cycles sont indépendants les uns des autres et aucune connaissance en histoire sociale n’est requise !

Les vignerons et les « rouges » (1891-1914). Dans un courrier de décembre 1891, le socialiste Charles Brunellière écrit à son ami Augustin Hamon, intellectuel anarchiste parisien, les mots suivants : « Les syndicats de vignerons ont été organisés par des délégués de l’Union syndicale de Nantes et par moi. (…) Le Progrès, journal opportuniste, prétend que c’est l’organisation d’une nouvelle jacquerie. C’est ce qui arrivera si les propriétaires veulent voler leurs colons et leurs fermiers. » Deux ans plus tard, le 8 octobre 1893, dans les colonnes du journal Le Temps, on peut lire ceci : « C’est la semence socialiste qu’il faut se hâter de détruire à l’heure même où elle est répandue sur le sol. Quand elle aura levé et que la moisson sera prête, il sera trop tard. »
Passay, 1907 : les pêcheurs se rebellent. La grève de 1907 est un moment fort de l’histoire de Passay, le village de pêcheurs du Lac de Grandlieu. D’abord parce que ce combat souligne la volonté du syndicalisme et du socialisme de sortir des centres ouvriers urbains pour combattre les restes de féodalisme présents dans un univers aussi réactionnaire que la Loire-Inférieure rurale. Ensuite parce qu’elle permet la création de deux coopératives, la première de pêche et la seconde de consommation, qui survivront des décennies. Elle est menée par un homme devenu depuis figure locale, Arsène Corbeau. Un Arsène Corbeau dont on sait au demeurant peu de choses…
Nantes, 19 février 1964 : ouvriers et paysans au coude à coude. Le 19 février 1964, 70000 travailleurs se rassemblent autour d’un slogan : « Pour que vive la Loire-Atlantique ». Emploi, développement industriel et critique de la politique sociale gaulliste sont au cœur de leurs interrogations. Or rien ne les prédestinait à marteler ensemble le pavé nantais. Retour sur vingt ans de relations entre syndicalisme ouvrier et paysan…

N’hésitez pas à visiter la bibliothèque du Centre d’histoire du travail (RDC du bâtiment Ateliers et Chantiers de Nantes). L’emprunt d’ouvrages y est possible gratuitement.

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021962 Le syndicat, voilà l’ennemi : résistances patronales

  • Dates des cours : 5janv-12janv-19janv
  • Heure de début du cours : 10:00
  • Heure de fin du cours : 12:00
  • Jour du cours : Lundi
  • Intervenant : Christophe PATILLON


Christophe PATILLON

Faire connaître la richesse de l’histoire sociale de la Loire-Atlantique et de l’Ouest en partant de luttes et d’événements marquants. A noter : les cycles sont indépendants les uns des autres et aucune connaissance en histoire sociale n’est requise !

La « Liberté libre » et les « trublions téléguidés » : ERAM et le syndicalisme (1962-1972). Chez ERAM, on ne supporte les syndicats que s’ils sont dociles, et gare aux travailleurs qui tenteraient de s’émanciper de la férule patronale ! Les syndicalistes chrétiens de la CFTC-CFDT l’apprennent à leurs dépens lors de deux conflits sociaux, en 1962 et 1972.
Une décennie pour rien ? L’UD CFDT 53 et le défi de l’implantation syndicale (1969-1981). « Il y a plus de têtes de vaches qu’il y a d’habitants, et encore quand je parle de vaches, je parle bien des bovins, et je ne compte pas les patrons. » Nous sommes en novembre 1981, dans le cadre du 8e congrès de l’Union régionale CFDT des Pays-de-la-Loire. En quelques mots, un syndicaliste a mis en avant les caractéristiques d’un territoire peu accueillant pour le mouvement ouvrier : la Mayenne demeure une terre agricole et les patrons mayennais ne sont guère portés au dialogue social…
La délocalisation, une arme antisyndicale : le cas d’UGECO. « C’est la première fois à Nantes que l’on voit une usine fermer ses portes, pratiquement après une grève, et aller s’installer ailleurs. » Ces mots sont issus d’un long article que L’Eclair consacre le 22 septembre 1972 à cette entreprise nantaise de confection. En effet, après une très longue grève, la direction décide de se « restructurer » abandonnant le cœur de Nantes pour la campagne verdoyante (Sainte-Pazanne) et le bord de mer (Guérande).

N’hésitez pas à visiter la bibliothèque du Centre d’histoire du travail (RDC du bâtiment Ateliers et Chantiers de Nantes). L’emprunt d’ouvrages y est possible gratuitement.

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021963 Moments forts de l’histoire sociale de la Loire-Atlantique

  • Dates des cours : 26janv-2févr-9févr
  • Heure de début du cours : 10:00
  • Heure de fin du cours : 12:00
  • Jour du cours : Lundi
  • Intervenant : Christophe PATILLON


Christophe PATILLON

L’objectif de ces cours est de faire connaître la richesse de l’histoire sociale de la Loire-Atlantique et de l’Ouest en partant de luttes et d’événements marquants. Aucune connaissance en histoire sociale n’est requise !

1833, les typographes nantais et la défense du métier. En mai 1833, soixante-quinze ouvriers typographes apposent leurs signatures au bas du contrat constitutif de l’Association philanthropique qu’ils viennent de créer et pour laquelle ils sollicitent la bienveillance des employeurs. Mais, faisant fi de la loi qui interdit les syndicats, cette association entend soutenir les ouvriers aux prises avec les imprimeurs nantais indélicats.
« Ils ont tué Rigollet ! » : 1955, une révolte ouvrière en basse-Loire. Le conflit de 1955 occupe une place à part dans l’histoire sociale de la Loire-Atlantique par sa durée et sa dureté. Durée : il s’écoule sur huit mois. Dureté : à Saint-Nazaire, on se bat autour des chantiers le 23 juin et on dresse des barricades le 1er août ; à Nantes, cette dureté s’illustre notamment par les moyens techniques utilisés par les manifestants (pavés, boulons, engins explosifs, sabotages). Même le vieux leader CGT Gaston Monmousseau fait revivre le temps d’un discours une ancienne pratique syndicaliste-révolutionnaire : le boycott.
Mai 1968, Nantes s’embrase. « La Commune de Nantes », tel est le titre du livre que Yannick Guin consacre au mouvement de mai-juin 1968 à Nantes. La référence au mouvement parisien de 1871 est hautement symbolique même si le « Mai nantais » fut exceptionnel, autrement dit singulier, fruit d’une histoire sociale dont les caractéristiques essentielles ne se retrouvèrent nulle part ailleurs.

N’hésitez pas à visiter la bibliothèque du Centre d’histoire du travail (RDC du bâtiment Ateliers et Chantiers de Nantes). L’emprunt d’ouvrages y est possible gratuitement.

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022146 En avant la musique !

  • Dates des cours : 12janv-26janv-9févr-9mars-23mars-27avr
  • Heure de début du cours : 14:00
  • Heure de fin du cours : 16:00
  • Jour du cours : Lundi
  • Intervenant : ARTABAN


ARTABAN

Ce cycle explore les liens étroits entre musique et arts visuels, de l’Antiquité aux temps modernes. Instruments, harmonies, rythmes ou figures mythologiques prennent ainsi vie dans les œuvres, des vases grecs aux toiles impressionnistes en passant par la sculpture romane et les œuvres inspirées par le jazz. Une promenade à travers les siècles et les médiums où Apollon croise Miles Davis et où la guitare devient un motif artistique à part entière. Cours magistral, aucun prérequis nécessaire. Plusieurs intervenants se partagent le cycle et offrent une vision variée du sujet.

  • Apollon et Dionysos : divinités et musique dans l’art antique
  • La musique des pierres : musique et musiciens dans les décors romans
  • Musique et allégories : muses et instruments
  • Musique et impressionnisme : libération de la touche
  • Guitare et autres instruments à cordes à travers l’histoire de l’art
  • Jazz et image
Coupe (kylix) en céramique à fond blanc représentant le dieu Apollon avec sa lyre, vers 480-470 AEC, Delphes, Musée Archéologique

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022158 Autour de 1975 : art et patrimoine

  • Dates des cours : 29sept-13oct-17nov-1déc-15déc-12janv
  • Heure de début du cours : 14:00
  • Heure de fin du cours : 16:00
  • Jour du cours : Lundi
  • Intervenant : ARTABAN


ARTABAN

Que se passait-il dans le monde de l’art en 1975, année de naissance de l’Université Permanente ? Ce cycle anniversaire vous propose une plongée dans l’effervescence artistique et patrimoniale du milieu des années 70. Dans un contexte de crise énergétique mais d’inventivité débordante, on explore les formes d’art engagées, les nouvelles pratiques artistiques, la montée du marché de la photographie, et l’évolution architecturale, notamment à Nantes. Un regard décalé et documenté sur une époque charnière, entre utopies, mutations et institutions — dont le Centre Pompidou bientôt cinquantenaire ! Cours magistral, aucun prérequis nécessaire. Plusieurs intervenants se partagent le cycle et offrent une vision variée du sujet.

  • Les années 70 : patrimoine et architecture à Nantes
  • Faire de l’art en 1975 : on n’a pas de pétrole mais on a des idées !
  • Rubriques des naissances et des morts autour de 1975
  • Les années 70 : la reconnaissance artistique de la photographie
  • L’émergence des formes d’arts populaires
  • Le Centre Pompidou, bientôt 50 ans !
La Tour Bretagne (1971-1976)

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